ou l’illusion des postures extrêmes….

Bloqués par des positions radicales, d’un côté un président inflexible qui aurait sans doute pu proposer une retraite à 64 ans en laissant aux partenaires sociaux le soin de sa mise en œuvre, de l’autre une CGT déterminée à revenir à 60 ans Ces dernières années ont été éprouvantes tant pour la cohésion nationale que pour l’économie et la société.

Du fait du vieillissement de la population mais aussi de l’amélioration de la qualité de vie après 60 ans, Il aurait sans doute été possible de prendre en compte, dès l’annonce de ce projet de réforme par le gouvernement, un certain nombre de facteurs tels que :

• L’inégalité réelle des Français devant cette qualité de vie.
• Le niveau de pension après une carrière hachée, principalement pour les femmes.
• Le poids des charges fixes d’un ménage où du coût des solutions alternatives proposées en cas d’isolement ou d’incapacité partielle ou totale.