Dans un contexte marqué par de nombreuses incertitudes, tant sur le plan politique qu’économique, que ce soit au niveau national ou international, les questions environnementales semblent malheureusement reléguées au second plan, très loin des principales préoccupations de nos décideurs politiques actuels.
 
Certains courants politiques, que l’on pourrait aisément qualifier de conservateurs, adoptent aujourd’hui une posture critique à l’égard des choix effectués en matière d’éolien et de photovoltaïque. Il serait particulièrement risqué de leur permettre de capitaliser sur des mécontentements qui, bien que parfois légitimes (comme une mauvaise répartition des éoliennes sur certains territoires, ou encore des pratiques de démarchage parfois abusives), traduisent aussi un individualisme souvent exacerbé (le fameux « oui, mais pas devant chez moi »).

Une des pistes de solution résiderait sans doute dans une implication beaucoup plus forte des habitants concernés, non seulement dans la conception et le montage des projets mais aussi dans leur gouvernance, qui pourrait être renforcée par un financement participatif. L’exemple d’une association réunissant les habitants des territoires concernés illustre parfaitement cette approche participative et locale.

Le photovoltaïque, un des piliers majeurs de la transition écologique

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *